Oeil de Loronar ou oeil de mouche
Neutre
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Entraînement et Capacités : L'œil de mouche est un chef-d'œuvre de miniaturisation, mesurant à peine quatre centimètres toutes jambes déployées, soit l'équivalent de la largeur de trois doigts humains. Son corps hémisphérique sert principalement de support à une lentille holographique à haute résolution pour une qualité d'image excellente, ainsi qu'à des circuits de transmission encodés afin d'éviter un quelconque piratage. Le plus souvent, la présence d'un utilisateur à distance, équipé d'un bloc de commande à manette pour manœuvrer l'œil de mouche lorsqu'il se déplace, est nécessaire, bien que les droïdes aient un niveau de programmation suffisamment élevé pour suivre des schémas basiques de filature en vol. Une fois que l'œil de mouche a atteint son point d'observation, le petit droïde s'assure grâce à ses quatre griffes aux extrémités magnétiques, et coupe son moteur à répulsion, l'œil de mouche entrant en mode passif qui le rend difficile à détecter, même par un balayage d'un scan de la sécurité. Mais son signal à ondes courtes reste toutefois vulnérable à un simple brouillage. Lorsqu'il est en planque, le droïde ressemble à un insecte, ce qui est parfait au cas où quelqu'un, pas très observateur, le remarquerait, et sa lentille holographique permet d'agrandir de petits détails, y compris les caractères d'un document, que ce soit un contrat commercial, des données tactiques militaires, etc.
Armure : Une carapace composée d'alliages légers mais très résistants.
Équipements : Les données visuelles sont retransmises en temps réel via un émetteur à ondes courtes à une unité réceptrice, le plus souvent un moniteur d'ordinateur, le tout géré par un opérateur chargé d'enregistrer les images qu'il reçoit, car le droïde est trop petit, même si c'est son principal atout, pour embarquer un enregistreur interne. L'œil de mouche ne comprend pas de récepteurs audio, ce qui dégraderait sa mobilité en raison du poids supplémentaire. Pour se déplacer, l'œil de mouche dispose d'un moteur à répulsion miniature et silencieux logé sous la coque hémisphérique. La puissance de ce moteur n'est certes pas très impressionnante, mais est suffisante pour que l'œil de mouche puisse se mouvoir dans les airs à la vitesse de 10 km/h avec un plafond de vol de 9 mètres. Les premiers tests expérimentaux ont démontré qu'un usage prolongé du moteur provoque une surchauffe et engendre une fonte des circuits internes; Loronar remédia à ce problème en intégrant à la coque quatre volets de dispersion de la chaleur pour maintenir les circuits en-dessous des températures extrêmes pendant un laps de temps supplémentaire.
Armements : Aucun armement.